Ce qu'ils vivent
Témoignages
De cavalier à bénévole, il n'y a qu'un pas : le tout jeune homme TSA reste à Cheval Espérance pour accompagner un garçonnet, TSA lui aussi, sur l'heure qui suit son cours...
C'est un exercice qui va leur permettre de gagner en autonomie, et aussi, de tisser un lien très fort en dépit de leur handicap.
Virgile et Antoine
De jeunes adultes, TSA toujours, souhaitent accompagner d'autres personnes plus lourdement handicapées qu'elles-mêmes. Aider est un moyen de se sociabiliser, de créer du lien. Pourquoi ne pas rester à Cheval Espérance après son cours ?
Maxime et Alexianne
Une toute jeune fille que la vie a heurtée, se fait du bien en aidant les autres, s'affirme comme une personne à part entière, ce qui est rendu possible grâce aux poneys, grâce à Cheval Espérance, ce cocon où, protégé, l'on peut s'épanouir.
Elle s'investit particulièrement auprès de Sacha.
Justine et Sacha.
Quand la jeunesse n'est plus tout à fait ce qu'elle était, que les ans et la maladie ont engendré des avaries, que malgré tout, chevaucher reste possible dans un cadre protégé, alors on donne de son temps pour que chevaucher soit encore aussi possible pour d'autres.
Natasha et Mélodie
Une toute jeune femme vient le samedi matin dès l'aube accompagner Léonce, qui du haut de ses 4 ans est déjà diagnostiquée TSA, et lui donne l'opportunité de s'initier au langage des signes. Comment dit-on poney en langage signé ?
De sabot en sabot, ce sont aussi des bénévoles qui deviennent groom en attelage...tels Cécile et Olaf.
Quel bel imbroglio !
Malika et Léonce
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